11 février Fête de Notre Dame de Lourdes
Le 11 février 1858 est le jour de la première apparition de Marie à la jeune Bernadette Soubirous, alors âgée de 14 ans. Dix-sept autres apparitions suivront, jusqu'au 16 juillet 1858.
En 1862, l'évêque de Tarbes déclare officiellement « que l'Apparition est surnaturelle et divine, et que, par conséquent, ce que Bernadette a vu, c'est la Très Sainte Vierge », tout en soumettant sa décision à Rome.
Bernadette devenue religieuse à Nevers recevra une double mission : celle d'infirmière, et selon les mots de l'évêque d'alors : « l'emploi de la prière». Elle décède en 1879.
En 1907, la fête de Notre-Dame de Lourdes, le 11 février - date de la première apparition, développée à Tarbes depuis 1890, a été étendue à l’Église universelle par le pape Pie X.
Dès les premiers mois de 1858, pèlerins, malades et hospitaliers de tous les pays se recueillent à Lourdes, devant la grotte de Massabielle.
Dans notre diocèse, le pèlerinage annuel, accueillant également les jeunes du diocèse, aura lieu du 12 au 17 juillet 2021.
Les soignants qui souhaitent être soutenus peuvent se faire connaitre auprès d’Isabelle Maignan déléguée épiscopale à la pastorale de la santé au 06 81 91 34 56.
Messe en direct de Lourdes 11 février 2021
La Pastorale de la santé du diocèse reste à la disposition des personnes malades, handicapées, comme à celle des soignants et des aidants.
Lire ou relire la chronique de Mgr Batut Malades et santé
« La maladie a toujours un visage, et pas qu’un seul : il a le visage de chaque malade, même de ceux qui se sentent ignorés, exclus, victimes d’injustices sociales qui nient leurs droits essentiels (cf. Lett. enc. Fratelli tutti, n. 22).
La pandémie actuelle a mis en lumière beaucoup d’insuffisances des systèmes de santé et de carences dans l’assistance aux personnes malades. L’accès aux soins n’est pas toujours garanti aux personnes âgées, aux plus faibles et aux plus vulnérables, et pas toujours de façon équitable. Cela dépend des choix politiques, de la façon d’administrer les ressources et de l’engagement de ceux qui occupent des fonctions de responsabilités. Investir des ressources dans les soins et dans l’assistance des personnes malades est une priorité liée au principe selon lequel la santé est un bien commun primordial.
En même temps, la pandémie a également mis en relief le dévouement et la générosité d’agents sanitaires, de volontaires, de travailleurs et de travailleuses, de prêtres, de religieux et de religieuses qui, avec professionnalisme, abnégation, sens de la responsabilités et amour du prochain, ont aidé, soigné, réconforté et servi beaucoup de malades et leurs familles. Une foule silencieuse d’hommes et de femmes qui ont choisi de regarder ces visages, en prenant en charge les blessures des patients qu’ils sentaient proches en vertu de leur appartenance commune à la famille humaine.»
Pape François
Message à l'occasion de la XXIXe Journée Mondiale du Malade
